Couture facile – Apprendre à coudre à votre rythme

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Ottobre Design Enfants 1/2017

La collection printemps pour enfants vient de sortir dans le dernier magazine Ottobre.

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Ce numéro coûte 11,95 euros et propose 37 modèles de couture pour enfants (du 98 au 170 cm).

Bien évidemment tous les patrons ne sont pas donnés pour toutes les tailles (on n’habille pas un ado avec un pyjama de bébé cela va de soi).

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Bon… que dire de ce numéro ? Et bien je pense sincèrement que je commence à avoir fait le tour des patrons enfants. Ma petite dernière qui a 13 ans, n’est plus si petite. Par exemple, pour faire ces ‘hauts’ je prends désormais les modèles dans le magazine femme en 34.

Du coup, le magazine enfants commence à être moins intéressant pour moi (j’ai dû le dire, et répéter plusieurs fois lors de mes derniers achats du magazine enfants).

Je pense par contre m’abonner mais pour l’option “femme + famille”. Il s’agit désormais vraiment de mon dernier magazine enfants. Je n’y trouve plus mon compte.

Je garde précieusement mes anciens numéros car les modèles bébés sont souvent des basiques, donc indémodables. Il ne me reste plus qu’à attendre d’être grand-mère !

 

J’aimerai ajouter un mot sur l’éditorial de ce magazine

C’est la première fois que je prends autant de plaisir à découvrir à chaque numéro l’éditorial d’un magazine ! A chaque fois je le lis avec une grande attention. Cette fois-ci j’ai voulu le partager avec vous, car je pense que cet éditorial mérite un peu de notre temps et de notre réflexion.

Cet éditorial correspond en tout point à ce que je peux ressentir sur la couture, nos confections et…  l’exploitation de personnes habitant des pays pauvres.

D’ailleurs, petites parenthèses, si vous n’avez pas vu le reportage “The true cost” je vous invite à le regarder car il traite de ce sujet-là également. Ce reportage est disponible sur Netflix (sous-titré en français).

Et voici l’éditorial d’Ottobre :

Qu’en pensez-vous ?

N’hésitez pas à partager votre ressenti dans les commentaires !

Pour finir cet article, j’ai quand même eu envie de vous montrer mon petit “coup de cœur”. C’est loin d’être ma tenue préférée, mais c’est la tenue, qui m’a peut-être le plus parlé dans ce numéro enfant.

pantacourt-sweat-ottobre

Le sweat est vraiment particulier. Ma fille n’aime pas du tout. Elle aime par contre le pantacourt mais sans plus car il fait trop ‘jogging’. En effet l’utilisation du molleton donne tout de suite une allure sportive.

Bon, ce n’est donc pas dans ce numéro là que nous avons trouvé notre bonheur.

J’ai hâte de découvrir le numéro famille par contre.

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Jennifer
Jennifer

Professeur de couture certifié Burda.

Mon diplôme de CESF (Conseillère en Economie Sociale et Familiale) m’a permis de bénéficier d’une formation de couture de 2 années pendant mes études supérieures.

Après avoir donné des cours de couture dans des centres sociaux, je forme aujourd’hui mes élèves grâce à mes formations de couture en ligne.

9 réflexions au sujet de “Ottobre Design Enfants 1/2017”

  1. bonjour
    merci de tout vos petits conseils ou trouver les livres de couture ottobre car je suis allé chez mon buraliste qui fait aussi des magasines mais pas trouve merci bonne journée
    cordialement

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  2. Bonjour,
    Je voulais juste vous dire que, concernant l’article sur l’exploitation de la main-d’oeuvre, je suis d’accord bien sûr, mais si vous n’achetez plus les vêtements bon marché que ces gens cousent, le résultat sera aussi … qu’ils n’auront plus de travail, donc plus d’argent pour nourrir leur famille. Même le faible revenu apporté par le travail d’un enfant est indispensable, trés souvent, pour que toute sa famille puisse manger à peu prés à sa faim … Le problème semble beaucoup plus vaste.
    Et ces vêtements bon marché, un français aux faibles revenus (et il y en a beaucoup, hélas) est bien content de pouvoir les acheter, ils sont souvent moins cher que le tissu pour les coudre (quand on sait coudre).
    Bien cordialement.
    Dominique

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  3. Tout à fait d’ accord avec Dominique Faucon . elle a résumé exactement ce que je pensais .et au moins , acheter ces vétements 1ers prix leur évite du chomage et leur permet de manger et de survivre .
    Bien sur le problème est qu’ on ne les paie pas assez , c’ est ça l’ expoitation !!!

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  4. Bonjour, je ne suis d’accord ni avec Dominique Faucon, ni avec Cerise sauf sur un point: le problème est vraiment complexe. Les enfants ne devraient pas travailler mais aller à l’école, quel que soit le pays dans lequel ils sont nés. se donner bonne conscience en disant que l’argent qu’ils amènent chez eux leur est utile, que les vêtements premiers prix sont biens venus pour « les français aux revenus modestes », c’est noyer le poisson. Et si les enfants exploités gagnaient plus d’argent, les vêtements premiers prix seraient plus chers, donc qui les achèteraient ? Je ne peux pas souscrire au fait que les gens dans des pays dits « riches » se fassent de l’argent sur le dos de gamins, fussent-ils pauvres. Car les enfants ne travaillent pas que dans des usines de produits vendus comme « premiers prix » chez nous. Et pour finir, depuis quelques années, suite à des soucis personnels, je fais partie des français à faibles revenus, mais je me débrouille pour coudre, tricoter, broder ou acheter dans des magasins d’occasion (Emmaüs, ressourcerie, magasins d’associations…) mais je n’achète pas des produits premiers prix : leur durée de vie est trop courte, outre leur mode de production qui ne correspond pas à mes valeurs. Bises du Sud

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  5. j’ai moi aussi beaucoup aimé l’éditorial de ce magazine! il est toujours pertinent ! la polémique sur le travail des enfants reste ouverte mais pour nous qui avons le choix se faire plaisir et faire plaisir aux autres en cousant est formidable!!!j’achéte de moins en moins!!!! bonne année Jennifer et bonne santé à votre fils!!

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  6. Chère Jenniver, j’éprouve plaisir et satisfaction à coudre mes vêtements et ceux de mes enfants qui sont grands et mon petit-fils. J’ai maintenant beaucoup de mal à m’acheter un vêtement tant je suis critique. J’use dorénavant mes vêtements jusqu’à la corde ! Je suis tout à fait d’accord que je ne peux soutenir l’exploitation d’adultes et d’enfants estimables mais qui ont le malheur de vivre sans droits dans des pays où les patrons ne sont pas si pauvres que l’on croit. Merci pour votre blog.

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  7. bonjour,
    je découvre votre blog où j’ai trouvé des choses très intéressantes. Maintenant en retraite, j’ai plus de temps pour coudre pour moi mais aussi pour mes petites filles. Du fait, j’ai un patron Mccall,s M5613 dont les explications sont en anglais et espagnol. Auriez vous, par hasard, la version francaise car j’ai un peu de mal à m’y retrouver. Merci pour votre travail sur ce blog

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